Le dernier match de l’équipe de France à Bordeaux datait de 1994. Pour les trentenaires, comme moi, et pour Aimé Jacquet cela rappelle de bons souvenirs. Non seulement parce que ce bon vieux Mémé a toujours aimé la capitale du Sud Ouest mais aussi parce qu’il lança, ce jour là, celui qui allait devenir le joueur européen majeur des années 2000, un certain Zidane. Pas bégueule, le Z lui rendit la politesse en collant 2 buts aux tchèques pour obtenir le match nul. On pourrait aussi dire que Dechamps est un fils spirituel de l’entraîneur panthéonable et qu’il compte sur ce match pour affirmer la bonne impression de rentrée laissée face au Portugal.
Mais arrêtons là les comparaisons. Car l’équipe d’il y a 21 ans était autrement plus neuve que celle d’aujourd’hui et la future star vient de se faire les croisés. Et pourtant ce match face à la Serbie est plein d’enseignements. Lire la suite
La qualification des deux premiers dans les groupes A, B et C étant quasiment assurée, ce soir on passe aux choses sérieuses : le plat de résistance. Et on devrait en savoir un peu plus sur les équipes qui passeront leur mois de juin prochain en France. Lire la suite
France
Eddy Ben Arous : 4,5/10
Présent au combat et dans les rucks où il récupère un ballon ( 4′), il l’a également été en mêlée fermée, faisant souffrir son vis-à-vis. En revanche il a semblé peu à l’aise ballon en main, se faisant refouler à deux reprises et perdant un ballon précieux dans le camp écossais (48′).
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Dernier match de préparation pour le XV de France, ce 44 ème France/Ecosse de l’histoire sentait bon le beau jeu et les combinaisons léchées. Deux équipes réputées joueuses, une ambiance amicale, des joueurs en pleine possession de leurs moyens, un hymne a cappella, un menu digne des grandes orgies de rugby. Hélas, la pluie s’est invitée au restaurant et la peur de perdre a coupé l’appétit des meneurs de jeu. La gagne, un point c’est tout ! Ce qui n’a pas rassuré l’ensemble des suiveurs de ce XV de France bien timide. Par choix ou par obligation ? Lire la suite
France
Eddy Ben Arous : 5/10
Moins en vue que son compère au niveau de la mêlée fermée, le francilien a tout de même fait souffrir Dan Cole, a été présent dans les rucks et dans le jeu courant. Dynamique, appliqué mais aussi fautif en deux occasions, il a réussi sa rentrée. Peut mieux faire néanmoins. Lire la suite
Crunch amical, Acte II. Ce France-Angleterre au Stade de France aura finalement été terne en termes d’enseignements pour les deux équipes titulaires (supposées) malgré un rythme soutenu. Circulez, y’a rien à voir ? Quand même pas…
Sur fond de validation définitive des deux groupes pour la coupe du monde, l’opposition aura au moins eu le mérite de situer quelques forces (et faiblesses) en présence. La France a gagné mais aurait pu perdre, comme les Anglais il y a huit jours. Une valse à deux d’où il ressort quelques idées directrices et quelques chefs d’orchestre. Lire la suite
Paris Saint Germain
Kevin Trapp : 6,5/10
Troisième match et troisième clean sheat pour le titulaire du poste. Solide sur deux frappes d’El Shaarawy ( 17′ et 48′) et très à l’aise balle au pied, l’allemand démontre à chaque sortie sa fiabilité et son aisance. Lire la suite
Chiocci, Vahaamahina, Goujon, Lamerat. Qui, dans les jours à venir, va évoquer l’injustice et la dureté pour ces quatre-là d’arrêter là l’aventure entamée depuis près de deux mois ? Personne ne le fera avec autant de force, en tout cas, que ceux qui vont s’apesantir sur le cas de l’ouvreur de Montpellier, François Trinh-Duc. Sans que cela soit tout à fait juste pour personne, le sélectionneur a donc définitivement choisi les hommes qu’il pense être en mesure de ramener la coupe. Les atouts sont nombreux, les limites pas encore atteintes. Etat des lieux des forces en présence. Lire la suite
La saison commence ce soir… Personne ne sait si cette phrase résonnait depuis hier matin au sein des groupes des deux équipes, mais du point de vue des observateurs, cette affiche de dimanche soir constitue sans doute le premier choc de la Ligue 1. Un Monaco en forme, en raison de sa participation aux barrages de la Ligue des champions, et un Paris qui réussit un excellent début de saison, il y avait de quoi saliver. Et la première de Di Maria en Ligue 1 promettait d’être la cerise sur le gâteau au rocher. Lire la suite
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